Après deux ans d’essais cliniques, c’est une avancée majeure dans la lutte contre le sida, mais également un nouveau confort de vie pour les personnes séropositives, qui pourront remplacer leurs cachets quotidiens par deux piqûres tous les deux mois. Ce vaccin reste toutefois réservé aux personnes dont l’état de santé est stable et n’ayant pas de co-infection à l’hépatite B, selon Jean-Michel Molina, chef du service d’infectiologie de l’hôpital Saint-Louis à Paris, à France Inter.