Cette trentenaire parisienne s’est glissée dans la peau d’une escort girl. Deux cents clients et 35 000 euros plus tard, elle a publié un livre sur cette immersion. Une démarche qui lui a valu une violente campagne de cyberharcèlement.
Elle en a tiré un livre qui lui vaut aujourd’hui une violente campagne de cyberharcèlement.
Elle se décrit comme une « femme lambda », à la « sexualité classique », même « un peu vieux jeu ou romantique ». Soisic Belin l’assume, presque gênée : pour ressentir du plaisir, elle a besoin d’avoir des sentiments.