Entre musique et parfum, la parenté est plus profonde qu’il n’y paraît. On parle de notes, d’accords, de composition. Un parfum s’écrit comme une mélodie : une envolée de tête vive, un cœur captivant, un fond persistant – comme un thème musical que l’on fredonne longtemps après. C’est sur cette ressemblance sensorielle que Guerlain bâtit aujourd’hui une expérience inédite : les Symphonies Olfactives.
Une partition sensorielle
Avec son audace coutumière, la maison Guerlain brouille les frontières entre l’odorat et l’ouïe. Dans ce projet innovant, chaque fragrance devient une œuvre musicale, chaque sillage une ligne mélodique. La Symphonie Olfactive fait naître un univers où le parfum se fait son, et le son, parfum. Ainsi, sentir devient écouter. Une note de jasmin s’élève comme un arpège lumineux, tandis qu’un fond de santal vibre dans les graves, profond et enveloppant.
Des émotions à fleur de peau… et d’oreille
L’ambition ? Prolonger l’émotion du parfum au-delà de la peau. En associant une signature olfactive à une ambiance sonore, Guerlain donne au public une nouvelle manière d’explorer ses créations : par l’ouïe autant que par l’odorat. C’est une immersion multisensorielle, un voyage où les souvenirs olfactifs prennent corps dans des harmonies musicales, où une fragrance peut évoquer un souvenir d’enfance ou une nuit d’été, simplement par la magie du son.
Une expérience artistique inédite
Les Symphonies Olfactives ne sont pas seulement une prouesse technologique : elles incarnent une vision artistique. Guerlain fait appel à des compositeurs contemporains pour traduire en musique l’âme de ses parfums. Chaque symphonie est pensée comme une œuvre unique, à la croisée des arts, et se vit comme une performance.
L’âme du parfum révélée autrement
Avec cette initiative, Guerlain continue d’explorer les territoires de la création sensorielle, fidèle à son héritage et résolument tournée vers l’avenir. En donnant à entendre ce que l’on ne faisait que sentir, la maison parisienne nous invite à écouter nos émotions, à réinventer notre rapport au parfum.
Le parfum a toujours été affaire de sensation. Désormais, il sera aussi affaire d’orchestration.
