The Weeknd continue d’écrire l’histoire de l’industrie musicale. La star canadienne, de son vrai nom Abel Tesfaye, a signé un accord estimé à un milliard de dollars autour de son catalogue musical, marquant l’une des transactions les plus importantes jamais réalisées pour un artiste solo.
Selon les informations relayées par plusieurs médias internationaux, cet accord a été conclu avec le fonds d’investissement Lyric Capital Group. Contrairement aux ventes classiques de catalogues, souvent définitives, il ne s’agit pas ici d’une cession totale des droits.
The Weeknd a opté pour un partenariat financier stratégique, lui permettant de lever des fonds tout en conservant la propriété et le contrôle créatif de sa musique.
Ce modèle repose sur la valorisation des revenus futurs générés par son catalogue — notamment le streaming, les licences et les synchronisations — pour structurer l’investissement. En échange, Lyric Capital obtient une participation minoritaire, sans prendre la main sur les décisions artistiques.
Avec des succès planétaires comme Blinding Lights, Starboy ou Save Your Tears, le catalogue de The Weeknd figure parmi les plus rentables de la dernière décennie. Cette opération confirme non seulement la puissance économique de son œuvre, mais aussi sa capacité à innover dans la gestion de sa carrière.
Au-delà de son cas personnel, cet accord pourrait faire école. Il illustre une nouvelle tendance dans l’industrie musicale, où les artistes cherchent à monétiser leur héritage sans le céder, redéfinissant ainsi l’équilibre entre création, indépendance et finance.
En conservant la maîtrise de son catalogue tout en sécurisant un financement colossal, The Weeknd s’impose une fois de plus comme un artiste visionnaire, autant sur le plan musical que stratégique.
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